Triathlon d’Oberaargauer

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  • C’est sous un ciel pluvieux que c’est déroulé, samedi, le triathlon d’Oberaargauer où étaient présents J-C, Daniel, Valentin et moi.

    J’arrive sur place à 10h45 et rencontre Val après quelques minutes. Ce dernier m’apprend que la température de l’air est de 17 degrés et celle de l’Aar où nous devons nager de 16. Cela refroidit un peu ma motivation. Nous partons malgré la pluie faire un tour de reconnaissance du parcours vélo qui s’avère être relativement plat ouf! Après quoi, nous posons nos affaires dans les zones de transition. Eh oui sur ce triathlon la transition nage-vélo et vélo-course ne se fait pas au même endroit. C’est à ce moment là que je remarque que j’ai oublié de prendre une deuxième paire de chaussures pour me rendre au départ qui se trouve 300 mètres en amont. 

    Cinq minutes avant le départ et aprés s’être enduit de graisse à traire que les Besse m’ont donnée (merci beaucoup) c’est l’heure d’entrer dans l’eau qui est à 24 car selon P-A si l’on pense qu’elle est chaude on ne sent pas le froid. Je comfirme que cela ne marche absolument pas. Le départ ne va pas tarder à être donné quand, soudain, je remarque que j’ai de la buée dans mes lunettes. Je frotte alors avec mes doigts ce qui ne fait qu’empirer les choses car ces derniers sont pleins de graisse à traire . J’effectuerai donc le parcours de natation en pouvant à peine distinguer mon voisin de droite et, au moment de sortir de l’eau, je passe évidemment tout droit et continue de nager sur quelques mètres avant de comprendre ce qui se passe. Finalement Val sort le premier des quatre suivi de Daniel, J-C et moi.

    Le parcours vélo fut un calvère. Après quelques centaines de mètres, dont les 200 premiers sont une montée très raide, je rattrape J-C, et fais le reste de la course tout seul avec Daniel en point de mire 150 mètres devant moi. Au milieu du parcours un c*****  me dépasse à gauche dans un virage à 90 degré et m’oblige a grimper sur le trotoir pour éviter la chute (la route est détrempée et glissante). Lorsque je le dépasse un peu plus tard je dois me retenir de ne pas l’envoyer dans le talus. Lorsque j’arrive à la zone de change je ne sens plus mes pieds, mes jambes ni mes doigts. J’effectue une transition médiocre car en entrant dans la zone je n’ai pas eu le temps d’enlever ma deuxième chaussure de vélo. De plus je n’arrive pas à décrocher mon casque car j’ai froid aux doigts.

    Au départ càp je vois Daniel pas très loin devant et pense pouvoir le rattraper mais après quelques hectomètres, ce dernier a déja creusé l’écart et les premières filles, parties 3 minutes après nous, me ratttrapent. A 300 mètres de l’arrivée J-C me dépasse à son tour et après avoir essayé de m’accrocher vainement dans sa foulée je passe la ligne totalement k.o. et frigorifié.   

    Au bilan final les résultats sont moins bons que d’habitude car beaucoup de français étaient présents aux avant-postes. Ce triathlon est très sympa et à refaire mais avec le SOLEIL.

    Encore un grand bravo à tous aussi à Gladys qui était aussi présente mais je ne sais pas comment s’est passée sa course

    @+ Matthieu

  • Mathieu,

    tu as oublié les écolières:

    bonne course avec de brillants résultats pour Sabrina et Maelle en E

    Ecolière I ainsi que pour Gladys en Ecolière II.

    Bravo à tous ceux et celles qui ont osé affronter la météo et la pluie.

    Pierre-André

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